Les priorités – chapitre 1

Quelle doit être la première ?

Lorsque l’on se perd, trouver le bon chemin est la clé. Il y a une multitude de voies, mais toutes ne sont pas bonnes pour tout un chacun. Les priorités doivent être mises en place pour retrouver sa route.

Établir le bon ordre de priorités est essentiel pour trouver ou retrouver ce qui est bon pour nous.

Éh bien, c’est très simple. La première priorité, c’est notre propre personne, c’est toi, c’est moi, en tenant compte des personnes qui nous entourent.

Je ne parle pas d’égoïsme, mais considérons un peu les choses ! Comment pouvons-nous prendre soin de quelqu’un d’autre, si nous-mêmes allons mal ?

Nous ne pouvons donner que ce que nous avons. Je ne ne veux pas dire que nous ne pouvons pas penser aux autres, mais que c’est notre propre équilibre qui est le point de départ pour pouvoir aider autrui.

Pour cela, il faut rétablir notre propre identité, il faut revenir sur l’essence de ce que nous sommes. J’en ai parlé dans un précédent article.

Les priorités dans notre vie doivent répondre à plusieurs critères. Je vais en développer deux aujourd’hui et je continuerai dans un prochain article.

La paix : premier critère de priorités

Oui, la paix est la première chose vers laquelle je dois tendre. Il est vrai que le deuxième ingrédient va de paire avec celui-ci. Nous allons en parler juste après avoir développé ce point.

Je dois trouver quelle atmosphère me permet d’être tranquille. Il me faut choisir ce qui me permettra d’être en accord avec moi-même, car il n’y a que de cette manière que je serai en paix.

Tout d’abord, mes choix nécessitent une réponse positive à une question vitale : est-ce que ce choix me définit, me correspond, ou je veux suivre ce que l’on veut de moi ?

Si ma réponse est affirmative à la première partie de la question, je sais que je ne trahis pas ce que je suis.

Nous ne nous rendons pas compte que la plupart de nos mauvais choix étaient précédés d’un manque de paix. Nous avons senti que ce choix allait remettre en question une ou plusieurs de nos valeurs.

Évidemment, notre conscience nous parle, notre intuition aussi. Écouter nous permet de rester en phase avec nous-mêmes.

L’impact direct est une paix naturelle. Pour la garder, il va falloir refuser les propositions qui ne correspondent pas à ce que nous sommes.

C’est un travail quotidien, car nous sommes toujours sollicité.e.s. La première façon de nous perdre est d’accepter ce qui est inacceptable pour nous.

Afin de réussir dans cette entreprise, il est primordiale de reconnaître la différence qui existe entre nous et la, ou les personnes, qui nous proposent une chose.

Notre univers n’est pas identique au leur, même si nous aimons ces personnes. Pour que cet univers reste équilibré, il est indispensable d’être paisible et de garder cette paix.

Une évidence ou une question se fait entendre, alors que tu lis : « il y a des choses qui échappent à mon contrôle et qui me font peur, il ne faut pas l’ignorer !? »

Certains événements, c’est vrai, viennent casser cette paix et nous nous inquiétons. C’est là que nous avons besoin de relativiser : notre inquiétude va-t-elle nous mener à la solution ? Il est très probable que ce ne sera pas le cas, alors efforçons-nous, car c’est un effort, de rester calmes.

Abordons maintenant le deuxième point !

La joie : deuxième critère de priorités

La joie est quasiment indissociable de la paix, dans le sens où si je veux mon propre bien-être, je dois avoir les deux.

Le bonheur est ce que tous les êtres visent. Si je veux être souriant.e, je dois me faire plaisir.

En faisant cela, mon visage reflète la beauté.

J’aspire à faire des choses que j’aime. Très clairement, quand je fais ces choses, je me réalise. Alors, cela veut dire que je dois écouter mes envies profondes.

Pourquoi profondes ? Tout simplement, car il y en a qui nous sont communiquées et que nous faisons nôtres, alors qu’à la base, elles ne l’étaient pas.

Je m’explique : j’aime écrire et ça me fait plaisir de le faire, quand je m’évade et que je sais que ce que je partage peut aider. Il y en a qui aiment écrire et qui seraient prêts à tout écrire, pourvu qu’ils écrivent. Cette envie pourrait m’être communiquée par ceux qui le font.

Mon envie profonde est l’écriture qui m’amène à un épanouissement en touchant des personnes. L’autre envie est celle qui me dit que tout écrire, c’est aussi vivre de ma passion. Pourtant, si je le fais, je perdrai ma joie.

Là, c’est vrai que je parle de moi. C’est du partage. J’ouvre la porte de mon univers.

Lorsque j’écris, je prends plaisir à m’imaginer le lecteur ou la lectrice réagir, être inspiré.e ou intrigué.e. Bref, j’écris pour communiquer ce que j’ai en moi.

Là est toute l’idée, ma joie vient de la communication d’idées positives pouvant aider celui ou celle qui me lit.

Par conséquent, écrire me fait sourire. Je suis joyeux. Je me sens connecté avec moi-même, par l’inspiration qui m’est donnée, à ce moment précis.

Ne pas faire ce nous aimons nous rend profondément tristes et nous nous sentons une autre personne. Nous nous posons alors de nombreuses questions et nous nous inquiétons : la paix et la joie ont disparu !

C’est pour cette raison que j’ai commencé par dire que la priorité devait être « ma personne », toi, moi !

Alors, je pourrai communiquer mes forces et créer une atmosphère particulière, à travers ce que je suis.

La vie est tellement capable de nous enseigner !

Je te dis à bientôt pour une deuxième partie !

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